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"Les plus anciens établissements de bienfaisance de notre canton, les maladreries de Bray et les léproseries d'Arthies et de Vétheuil, avait été fondées au Moyen Age, après les croisades, pour la réclusion des lépreux, et ils ont cessé d'exister après cette affreuse maladie. La grande peste, de 1347 à 1461, a ravi à la France le tiers de habitants. Saint Roche, au 13e siècle, avait mérité la canonisation par son zèle à soigner les pestiférés et à inhumer leurs corps restés sans sépulture".

La maladrerie Saint-Thomas, sans doute commune au deux villages d’Artie-la-ville et Mondétour, étaient située sur le territoire d’Artie, parcelle Saint-Thomas au cadastre Napoléonien. Elle aurait été l’une des plus importantes du Vexin. Jeanne de Lespinay, veuve de Claude de Chauffour, possède le terrain en 1698. Certains pensent à tort, comme Jean-Luc Flohic ("Le Patrimoine des communes du Val d’Oise", octobre 1999) que ces contreforts de "la ferme d’en-bas" sont des vestiges implantées hors des villages.
La maladrerie Saint-Thomas-en-Artie disposait d’une chapelle désaffectée en 1693.
Léon Plancouard a publié une étude de trente huit pages sur le sujet.
Victor Hébert, instituteur à Arthie, y a, de son côté, consacré trois pages dans sa monographie du 20 septembre 1899.

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