Mal destor espirit bel"
"Sur fond d’azur aux fleurs de Lys d’or du Vexin français avec un lambel d’hermine noir sur fond d’argent, une figure d’argent en dents de scie, un "vivré", ligne brisée représentant le dessin tortueux des chemins gagnant et traversant le village à l’écart de la grande route de Magny-en-Vexin à Mantes.
La devise s’inspire de l’ancienne dénomination du village : "Mal destor espirit bel" "mauvais tournant bon esprit". Ce blason rappelle l’appartenance ancienne du village au Vexin français, autrefois partie du domaine royal d’Ile de France, et symbolise sa situation. C’est sur proposition de M. l’Abbé Michel Bernay que ce blason a été réalisé en 1975, sous l’administration de M. Willy-Paul Romain, Maire.
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Les Maires et adjoints depuis 1789
Depuis la révolution française, de nombreux maires se sont succédés.
Maires Adjoints
1789 : David Maillard | David Censier |
1807 : Charles, Louis Comte de Rancher | François Trognon |
1813 : Charles, Louis Comte de Rancher | Pierre Truffaut |
1816 : Charles, Louis Comte de Rancher | Antoine Maillard |
1821 : Charles, Louis Comte de Rancher | Louis Noël |
1829 : Charles, Louis Comte de Rancher | Michel-Ange Bouillette |
1830 : Pierre Truffaut | |
1831 : Michel-Ange Bouillette | David Maillard |
1838 : Michel-Ange Bouillette | Jacques Meunier |
1848 : Jean-François Buinard | Pierre, Jean Harrang |
1850 : Pier, Jean Harrang | |
1852 : Michel-Ange Bouillette | |
1855 : Michel-Ange Bouillette | Jacques Meunier |
1858 : François-Honoré Truffaut | |
1861 : François-Honoré Truffaut | Charles Legendre |
1863 : Charles Legendre | |
1864 : Charles Legendre | Henri, Théodore Truffaut |
1871 : Charles Legendre | François Cauchard |
1877 : Charles Legendre | Denis, Michel Delorme |
1878 : Denis, Michel Delorme | Denis, Michel Delorme |
1884 : Denis, Michel Delorme | René, Clément, Comte de Rancher |
1888 : René, Clément, Comte de Rancher | |
1889 : René, Clément, Comte de Rancher | François Boulanger |
1903 : René, Clément, Comte de Rancher | |
1909 : Ernest Hebert | François Boulay |
1912 : Ernest Hebert | Désiré Maillard |
1932 : Marcel Hebert | |
1944 : René Michel | Roland Lavocat, Georges Leroy |
George Leroy | |
1945 : René Michel | Justine Truffaut, née Maillard |
1953 : René Michel | Paul Truffaut |
1971 : Willy Paul Romain | Paul Truffaut, René Michel |
1985 : Claude Delavaud | |
Francis Gagnaison | |
1989 : Francis Gagnaison | André Schembri |
Claude Delavaud | |
Jacques Monin | |
1995 : Francis Gagnaison | Bernard Lavocat |
Alain Ferrari | |
Jean-Pierre Valeux | |
2001 : Francis Gagnaison | Didier Vermeire |
Jacques Millouet | |
Dominique Floret | |
2002 : Didier Vermeire |
.Jacques Millouet Arlette Hipeau, Nathalie Lepage |
En 1971, M. Teuscher, ouvrier agricole, a trouvé en plaine une hache en pierre, probablement façonnée 3000 ans av-JC .
Après "Malum diversorium", on relève les dénominations "Maldestor", "Maudestor", "Mondétour", "Maudétour-en-Vexin-Le-François", "Maudétour", puis "Maudétour-en-Vexin" pour éviter les erreurs d’acheminement du courrier.
En effet, avant la création des départements de la couronne autour de Paris, trois localités de la Seine et Oise portaient la dénomination de "Mondétour" et "Maudétour" :
"Mondétour", hameau d’Orsay.
"Mondétour", hameau de Sermaise par Saint-Chéron .
"Maudétour", que, dans le langage courant, on prononçait très souvent "Mondétour".
Le conseil municipal, réuni le 29 février 1948 sous la présidence de René Michel, Maire, a émis le voeu que le nom de la commune de Maudétour soit complété par l’adjonction des mots "en Vexin", dénomination qui était portée jadis par la commune ainsi qu’il ressort de l’arrêt de la Cour du parlement en date du 1er mars 1760 portant règlement pour l’administration de la fabrique de la paroisse de Maudétour-en-Vexin-Le-François, et de l’arrêté préfectoral paru au bulletin officiel des Maires du département de Seine et Oise n°7 du 14 février 1948 portant classement et inscription parmi les monuments historiques et sites des parc, pour d’honneur et château de Maudétour-en-Vexin.
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C’est la raison pour laquelle la famille de Rancher a cédé cette maison à la commune en 1876 pour 2000 Frs.
Les travaux d’aménagement ont été terminés en 1879.
Avant 1879, l’école était installée dans la maison léguée en 1624 par le curé Lestourmy au lie-dit "Le Four à Ban".
Cette 1ère école, qui se trouvait en très mauvais état (toiture enlevée par le violent orage du 26 juin 1879) a fait l’objet de la décision d’aliénation du 23 mai 1886 et a été vendue le 23 janvier 1887 à Madame veuve Boulanger. Seul, le portail subsiste aujourd’hui au 2, chemin de l’ancienne école.
18 recteurs ou maître d’école ont enseigné dans l’ancienne école a partir de 1709, année d’entrée en fonction de Vincent Surgis, le premier dont nous connaissons le nom, et 19 dans la nouvelle.
A noter qu’au XVIIe siècle, la nomination du clerc appartenait exclusivement au curé assisté par la suite des douze principaux paroissiens au sens de contribuables et ce en application de l’Arrêt de la Cour du 31 mars 1760.
La rémunération était de 125 livres assurée par prélèvement sur les revenus des legs des curés Bernard et Lestourmy.
Voici d’ailleurs copie d’une modèle de reçu :
"J’ai soussigné Germain Legendre, maître d’école de Maudétour, reconnais avoir reçu du sieur Jean Baptsiste Trognon, trésorier du revenu des "filles de Maudétour", la somme de trente et une livres cinq sols pour trois moi de mon service, dont septembre, octobre, novembre 1765.
L’école a toujours été constituée d’une seule classe mixte, tous niveaux jusqu’au certificat d’études primaires. Pendant plus de deux siècles, les Maldestoriens ont confié le poste de maître d’école à des hommes, Mme Hofmann ayant été la première maîtresse d’école en 1919, succédant à vingt deux hommes.
Les filles bénéficiaient d’un enseignement complémentaire assuré par la "maîtresse des travaux à l’aiguille".
En 1982, l’effectif était ramené à sept élève, quatre en première, trois en classe enfantine, le nombre minimum étant fixé à neuf par l’inspection d’Académie pour le maintien de l’école.
L’école n’a été maintenue ouverte qu’en fonction de l’ensemble pavillonnaire du "Clos Breton", mais il n’en a rien été, les parents ayant pris le soin d’inscrire leurs enfants dans les écoles des communes voisines, surtout à Genainville.
Vincent Baldovini, instituteur pendant vingt ans, en parfaite concordance de vues avec le conseil municipal, enseignant très apprécié avait milité pour une répartition des classes par niveaux dans le villages des alentours, Maudétour en Vexin devant accueillir une maternelle.
Malheureusement, ce projet n’a pas about, et la dernière année scolaire a été l’année 1983-1984.
La caisse des écoles créée le 13 mai 1883 n’avait donc plus de raison d’être.
On se souviendra de son but défini par l’article 1 de ses statuts :
"Elle a pour but de faciliter la fréquentation des classes par des récompenses sous forme de livres utiles et de livrets de caisse d’épargne aux élèves les plus appliqués et par des secours aux élèves indigents ou peu aidés, soit en leur donnant des livres et fournitures, de classe qu’ils ne pourraient se procurer, soit en leur distribuant des vêtements et des chaussures et pendant l’hiver des vêtements chauds".
La salle de classe est alors devenue la salle de réunion du conseil municipal, d’assemblée générale du Foyer rural, salle des mariages ou encore bu
"